Peuple de l’Equinox

Le peuple de l’Equinox désigne l’ensemble des habitants originaires de l’île de Cliabhan. Ils sont les descendants directs des premiers glands, ou Gland originaux.

Sommairement résumé, il regroupe les populations elfiques (hauts elfes, elfes sylvestres, elfes ardents), de nombreuses créatures sylvestres (faunes…) et plusieurs ethnies humaines (forestiers, montagnards, amazones, hommes-loups). Sont ainsi exclus les Colons installés sur l’île depuis les grandes phases migratoires de Mythodea, remontant à une quinzaine d’années.

Le peuple de l’Equinox a appris à puiser sa force et sa vitalité dans le Darach, à faire corps avec le Père Chêne. Plus que ça, son essence même s’est mélangée à celle de l’arbre de vie, liant inexorablement son destin au sien. Vivant en osmose avec le Darach, la détérioration de sa santé touche directement chaque Gland. D’abord infimes, les symptômes se sont accentués ces dernières années.

En 3003, un an seulement après la chute de la barrière magique qui protégeait son île, le peuple de l’Equinox finit par découvrir avec horreur qu’il était devenu stérile. Condamné à plus ou moins brève échéance, l’espoir repose sur la réussite de la Confrérie de l'Equinox et la découverte du Gland d'Or, afin de revitaliser le Darach.

Le peuple de l’Equinox est originellement réparti en trois familles : la famille Adharc, la famille Gliocas, la famille Sionnach. Chaque divinité a eu une empreinte durable sur les membres de sa famille, qui s’exprime par les affinités et les caractères de chaque individu. Toutefois, un métissage progressif entre les familles a quelque peu atténué ce phénomène, si bien qu’il n’est pas rare de rencontrer des Glands au caractère plus nuancé. On parlera alors « d’ascendant » (ex. un Gland Adharc ascendant Gliocas. Autrement dit, un impétueux qui sait se contrôler par moments…) Malgré tout, le peuple de l’Equinox est fier de ses origines, et chaque individu se revendiquera d’une famille bien précise.

Sont regroupés au sein des trois grandes familles divers clans, au passé plus ou moins lointain. Un individu n’est pas forcé d’appartenir à un clan ; il s’inscrira par contre forcément au sein d’une des familles.